Alors que le classement Pisa 2023, annoncé cette semaine, range la France à l'un de ses pires niveau en matière de connaissance, notamment en mathématiques, Bruno Millienne souhaite tirer un coup de chapeau au ministre Gabriel Attal qu'il juge pragmatique et réaliste. Que ce soit sur les questions de laïcité, de harcèlement scolaire, ou d'expérimentation du port de l'uniforme, la méthode du ministre de l'Education nationale est surprenante à plus d'un titre.
Avec l'annonce de son "Choc des savoirs", il s'illustre à nouveau, tant sur les mesures innovantes en matières d'enseignement, que sur la place des parents à toutes les grandes étapes du cursus de leurs enfants. La finesse de son approche mérite qu'on s'attarde sur un sujet sur lequel tant de ses prédécesseurs ce sont cassés les dents. Bien plus qu'un "mammouth qu'il faut dégraisser", l'Education doit redevenir une grande priorité nationale, avec bon sens, simplicité et sagesse.
Alors que le classement Pisa 2023, annoncé cette semaine, range la France à l'un de ses pires niveau en matière de connaissance, notamment en mathématiques, Bruno Millienne souhaite tirer un coup de chapeau au ministre Gabriel Attal qu'il juge pragmatique et réaliste. Que ce soit sur les questions de laïcité, de harcèlement scolaire, ou d'expérimentation du port de l'uniforme, la méthode du ministre de l'Education nationale est surprenante à plus d'un titre.
Avec l'annonce de son "Choc des savoirs", il s'illustre à nouveau, tant sur les mesures innovantes en matières d'enseignement, que sur la place des parents à toutes les grandes étapes du cursus de leurs enfants. La finesse de son approche mérite qu'on s'attarde sur un sujet sur lequel tant de ses prédécesseurs ce sont cassés les dents. Bien plus qu'un "mammouth qu'il faut dégraisser", l'Education doit redevenir une grande priorité nationale, avec bon sens, simplicité et sagesse.