Le Rassemblement National, parti politique autrefois connu sous le nom de Front National, a entrepris ces dernières années une stratégie délibérée visant à se notabiliser au sein du paysage politique français. Cette tentative de notabilisation peut être interprétée comme une volonté de normaliser et de légitimer un parti d'extreme-droite, fondé par un ancien SS, marqué tout au long de son histoire par des prises de position racistes, xénophobes et antisémites. Encore aujourd'hui, et même si la vitrine est plus présentable, ce parti reste lié à ce que l'extrême-droite produit de pire dans notre pays.
Cette stratégie opportuniste vise à convaincre les électeurs que ce parti est prêt à gouverner et qu'il serait tout à coup devenu respectable, républicain et humaniste. Qu'en est-il en réalité ?... Dans ce nouvel épisode, Bruno Millienne appelle à la vigilance face à cette manœuvre, à l'appui d'exemples concrets extraits des propositions du RN à l'ordre du jour lors de leur journée de niche parlementaire. Bas les masques !
(*enregistré avant l'attentat d'Arras)
Le Rassemblement National, parti politique autrefois connu sous le nom de Front National, a entrepris ces dernières années une stratégie délibérée visant à se notabiliser au sein du paysage politique français. Cette tentative de notabilisation peut être interprétée comme une volonté de normaliser et de légitimer un parti d'extreme-droite, fondé par un ancien SS, marqué tout au long de son histoire par des prises de position racistes, xénophobes et antisémites. Encore aujourd'hui, et même si la vitrine est plus présentable, ce parti reste lié à ce que l'extrême-droite produit de pire dans notre pays.
Cette stratégie opportuniste vise à convaincre les électeurs que ce parti est prêt à gouverner et qu'il serait tout à coup devenu respectable, républicain et humaniste. Qu'en est-il en réalité ?... Dans ce nouvel épisode, Bruno Millienne appelle à la vigilance face à cette manœuvre, à l'appui d'exemples concrets extraits des propositions du RN à l'ordre du jour lors de leur journée de niche parlementaire. Bas les masques !
(*enregistré avant l'attentat d'Arras)